Le Château d’Angers est situé dans la ville d’Angers dans le département de Maine-et-Loire en France.
Le château est géré par le Centre des Monuments Nationaux [1].
La forteresse, sur un promontoire de schiste ardoisier qui domine la Maine, fut l’un des sites occupés par l’Empire romain à cause de sa position défensive stratégique.
Pendant le IXe siècle, la forteresse passa sous l’autorité des comtes d’Anjou. Elle est conquise en 1204 par Philippe II. Les remparts massifs construits de 1230 à 1240 à l’initiative de saint Louis ont une circonférence d’environ 650m de long et sont flanqués de dix-sept tours. Du côté nord, l’abrupt du plateau est tel que les architectes n’ont pas jugé nécessaire de compléter les défenses.
Durant les guerres de Religion, Henri III donna l’ordre de raser la place afin qu’elle ne tombe pas entre les mains des protestants. On commença à découronner les tours, mais les travaux furent interrompus. On décida alors d’établir à leurs sommets des terrasses d’artillerie.
Au début de messidor an I (fin juin 1793), les Vendéens échouent à investir la place forte.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, les bombardements alliés touchent un dépôt de munition dont l’explosion endommage les remparts.
Le château abrite aujourd’hui la Tapisserie de l’Apocalypse, célèbre tenture datant du Moyen Âge, relatant l’Apocalypse selon saint Jean ; tenture réalisée par le lissier royal Nicolas Bataille sur des dessins d’Hennequin de Bruges.Le château est géré par le Centre des Monuments Nationaux [1].
La forteresse, sur un promontoire de schiste ardoisier qui domine la Maine, fut l’un des sites occupés par l’Empire romain à cause de sa position défensive stratégique.
Pendant le IXe siècle, la forteresse passa sous l’autorité des comtes d’Anjou. Elle est conquise en 1204 par Philippe II. Les remparts massifs construits de 1230 à 1240 à l’initiative de saint Louis ont une circonférence d’environ 650m de long et sont flanqués de dix-sept tours. Du côté nord, l’abrupt du plateau est tel que les architectes n’ont pas jugé nécessaire de compléter les défenses.
Durant les guerres de Religion, Henri III donna l’ordre de raser la place afin qu’elle ne tombe pas entre les mains des protestants. On commença à découronner les tours, mais les travaux furent interrompus. On décida alors d’établir à leurs sommets des terrasses d’artillerie.
Au début de messidor an I (fin juin 1793), les Vendéens échouent à investir la place forte.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, les bombardements alliés touchent un dépôt de munition dont l’explosion endommage les remparts.
Remarques concernant le château d’Angers : ce château (réputé comme l’un des plus imprenables de France) fut pris une seule et unique fois dans son histoire, du fait de deux hommes seuls ! Les profondes douves qui cerclent le château n’ayant jamais été inondées malgré la présence mitoyenne de la Maine (le château ayant toutefois été bâti près de ce point d’eau dans l’optique de dériver son cours) ont évidemment facilité cette intrusion. Pour ce qui est des douves, elles abritèrent par contre une collection d’animaux sauvages (lions, panthères, loups, ours…) ainsi que des rapaces. La ville d’Angers a d’ailleurs le projet de remettre au goût du jour la fauconnerie, si chère au célèbre « Bon roi René » dès l’été 2007. La municipalité a d’ailleurs d’ores-et-déjà fait l’acquisition de deux rapaces.
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