บุคคลและสิ่งของจากประเทศไทยที่ได้รับการบันทึกไว้ในกินเนสบุ๊กแล้ว มี ๑๑ รายการด้วยกันได้แก่
๑. พระบาทสมเด็จพระเจ้าอยู่หัว เป็นพระมหากษัตริย์ที่ทรงครองศิริราชสมบัติยาวนานที่สุดในโลก
๒. ชื่อเดิมของกรุงเทพมหานคร เป็นชื่อเมืองที่ยาวที่สุดในโลก
๓. วัตถุมงคลที่มีราคาสูงสุด ได้แก่ พระพุทธรูปทองคำที่วัดไตรมิตร กรุงเทพมหานคร
๔. นักเปตองหญิงชาวไทย ชนะเลิศการแข่งขันเปตองชิงแชมป์โลกถึง ๒ ครั้ง เมื่อปี พ.ศ. ๒๕๓๑ และ ๒๕๓๓
๕. นักสนุกเกอร์ไทย “ต๋อง ศิษย์ฉ่อย” ทำแต้มได้สูงสุดในการแข่งขัน คือ ๑๔๗ จุด
๖. ภัตตาคารใหญ่ที่สุดในโลก คือ มังกรหลวง ที่ถนนบางนา-ตราด บริกรสวมรองเท้าสเก็ตล้อเพื่อช่วยให้บริการได้รวดเร็วทั่วถึง
๗. ปลาน้ำจืดตัวโตที่สุด คือ ปลาบึก จับได้ที่จังหวัดเชียงราย ยาว ๓ เมตร หนัก ๒๔๒ กิโลกรัม
๘. สัตว์เลี้ยงลูกด้วยนมตัวเล็กที่สุดในโลก คือ ค้างคาวกิตติ พบที่จังหวัดกาญจนบุรี
๙. ตั๊กแตนตัวโตที่สุดในโลกยาว ๒๕.๔ เซนติเมตร กระโดดได้ไกลถึง ๔.๖ เมตร พบที่ชายแดนไทย-มาเลเซีย
๑๐. ไข่มุกเม็ดโตที่สุด เส้นผ่าศูนย์กลาง ๔๐ มิลลิเมตรหนัก ๒๗.๖๕ กรัม พบที่ใกล้เกาะสมุย จังหวัดสุราษฏร์ธานี
๑๑. ในเมืองไทยมีผู้ถูกตัดสินจำคุกนานถึง ๑๔๑,๐๗๘ ปี คือ นางชม้อย ทิพย์โส จากคดีแชร์น้ำมันแม่ชม้อย
ล่าสุดนั้น นักเรียนไทยระดับประถมหลายโรงเรียนนับล้านคนได้ลงชื่อเชียร์นักกีฬาซีเกมส์ ในโครงการพลังใจไทยทำได้แผ่นป้ายผ้าที่มีคำอวยพรและรายชื่อเด็ก ๆ นี้ยาวเกือบ ๘ กิโลเมตร หากคณะกรรมการของหนังสือกินเนส (The Guinness Book of Records) เห็นด้วย ก็จะได้บันทึกว่ายาวทำลายสถิติโลก ๕.๖ กิโลเมตร ที่อินโดนีเซียทำไว้
“ข้อมูลสนับสนุนจากหนังสือ ๑๐๘ ซองคำถาม / สำนักพิมพ์สารคดี”
วันศุกร์ที่ 30 พฤศจิกายน พ.ศ. 2550
วันพฤหัสบดีที่ 29 พฤศจิกายน พ.ศ. 2550
Seine
La Seine est un fleuve français, long de 776 kilomètres, qui coule dans le Bassin parisien et arrose notamment Troyes, Paris et Rouen. Sa source se situe à 470 mètres d'altitude, à Saint-Germain-Source-Seine dans le plateau de Langres, en Côte-d'Or. Son cours a une orientation générale du sud-est au nord-ouest. Elle se jette dans la Manche, à hauteur du méridien du Hode, près du Havre. Son bassin versant, d'une superficie d'environ 75 000 km², intéresse près de 30 % de la population du pays. Il est géré par l'agence de l'eau Seine-Normandie.
Étymologie
Seine vient du latin Sequana, lui-même emprunté aux peuplades gauloises autochtones.
L'Yonne et la Seine auraient été considérées comme jumelles, seul le cours supérieur ayant été appelé Seine après transcription par César du mot latin (I)sicauna en Sequana. On y retrouve le nom de l'Yonne : Icauna ou Icaonna. (Le nom de Seine pourrait donc être un diminutif du nom de l'Yonne.)
L'origine du nom Sequana est obscure. Certains y voient une erreur de transcription d'un ou de plusieurs mots celtes différents. D'autres un toponyme préceltique, au motif que le groupe 'kw' n'existe pas en celtique continental, où il a évolué en 'p' (exemple : pimp en gallois, cinq <= indo-européen kwenkw). Cependant, cette évolution a pu se produire postérieurement à l'attribution du nom Sequana par les premiers arrivants celtes : ceux-ci semblent en effet avoir parlé un « proto-celtique » où la mutation kw => p n'était pas encore réalisée, comme l'attesteraient certaines inscriptions celtibères retrouvées en Espagne.
L'Yonne et la Seine auraient été considérées comme jumelles, seul le cours supérieur ayant été appelé Seine après transcription par César du mot latin (I)sicauna en Sequana. On y retrouve le nom de l'Yonne : Icauna ou Icaonna. (Le nom de Seine pourrait donc être un diminutif du nom de l'Yonne.)
L'origine du nom Sequana est obscure. Certains y voient une erreur de transcription d'un ou de plusieurs mots celtes différents. D'autres un toponyme préceltique, au motif que le groupe 'kw' n'existe pas en celtique continental, où il a évolué en 'p' (exemple : pimp en gallois, cinq <= indo-européen kwenkw). Cependant, cette évolution a pu se produire postérieurement à l'attribution du nom Sequana par les premiers arrivants celtes : ceux-ci semblent en effet avoir parlé un « proto-celtique » où la mutation kw => p n'était pas encore réalisée, comme l'attesteraient certaines inscriptions celtibères retrouvées en Espagne.
วันอังคารที่ 13 พฤศจิกายน พ.ศ. 2550
LISBONNE
LISBONNE: UNE VILLE AUX MILLE VISAGES
Lisbonne? Cette ville au bout de l’Europe, sur le rivage de l’océan Atlantique qui tourne le dos aux terres?
Aller à Lisbonne, c’est une exploration où chacun a tout à découvrir: des temples, des palais, des places et des musées ... mais aussi des ruelles, des jardins, des quartiers populaires ...
Partons à l’aventure!
Vous aimez faire des courses?
Commençons par la Place du Commerce face au fleuve: elle est rose, entourée de bâtiments à arcades et s’ouvre sur un porche qui donne accès à la Baixa (la partie basse de la ville) où on découvre des boutiques élégantes mais aussi des artistes de rues ... Empruntez l’ascenseur construit par Gustave Eiffel coincé entre deux immeubles et qui vous permet de vous élever d’une trentaine de mètres jusqu’aux ruines du Carmo.
Vous aimez les quartiers populaires?
Passons au Bairro Alto (la partie haute de la ville) à l’ouest. Un quartier animé, commercial, intellectuel et culturel avec ses tavernes et ses maisons de fado (Vous connaissez Amália Rodrigues? Demandez à n’importe quel portugais et il vous racontera ...)
Vous aimez marcher sans but et vous n’avez pas peur de vous perdre?
C’est l’Alfama qu’il vous faut avec son labyrinthe de ruelles étroites à égarer Dédale lui-même! N’oubliez pas de passer par le château Saint Georges (une forteresse des Romains et des Musulmans) qui ne sert plus à protéger la population, mais qui possède une fantastique salle d’information sur la ville et ...une grande collection de cygnes, de canards et de paons ... La vue est superbe!
Vous êtes un fanatique de photos?
Alors, n’oubliez pas votre appareil et regardez où vous mettez les pieds! Non pas que les trottoirs ne soient pas propres, mais trop de Portugais oublient d’admirer les magnifiques dessins réalisés avec des pavés blancs et noirs: des formes géométriques, des fleurs, des mosaïques...
Maintenant, relevez la tête et regardez les façades des bâtiments et vous découvrirez les azulejos, ces carreaux de faïences apparus aux Moyen-Âge. On en découvre partout, principalement en bleu, mais aussi avec des fleurs roses, jaunes vertes ... Un véritable musée en plein air! Vous n’avez que l’embarras du choix ...
Vous aimez l’histoire et vous associez le Portugal aux grandes découvertes maritimes?
Ce qu’il vous faut c’est la zone de Belém, au bord du fleuve, avec la caravelle du monument des Découvertes devant le pavage qui compose une immense rose des vents où vous pourrez lire la carte du monument, après quoi vous pourrez visiter le Planétarium Gulbenkian, le Monastère des Jerónimos, le musée national des Carrosses et pourquoi pas le Palais Présidentiel (le troisième dimanche de chaque mois). Finissez la journée par la dégustation de la spécialité locale: les pastéis de Belém (de délicieuses petites tartes à la crème). Un conseil: n’essayez pas d’obtenir le recette ... c’est un secret conservé depuis plus d’un siècle!
Nous vous attendons car il y a encore beaucoup à découvrir...
แหล่งที่มา:http://www.bonjourdefrance.com/n9/lisbonne.htm
Lisbonne? Cette ville au bout de l’Europe, sur le rivage de l’océan Atlantique qui tourne le dos aux terres?
Aller à Lisbonne, c’est une exploration où chacun a tout à découvrir: des temples, des palais, des places et des musées ... mais aussi des ruelles, des jardins, des quartiers populaires ...
Partons à l’aventure!
Vous aimez faire des courses?
Commençons par la Place du Commerce face au fleuve: elle est rose, entourée de bâtiments à arcades et s’ouvre sur un porche qui donne accès à la Baixa (la partie basse de la ville) où on découvre des boutiques élégantes mais aussi des artistes de rues ... Empruntez l’ascenseur construit par Gustave Eiffel coincé entre deux immeubles et qui vous permet de vous élever d’une trentaine de mètres jusqu’aux ruines du Carmo.
Vous aimez les quartiers populaires?
Passons au Bairro Alto (la partie haute de la ville) à l’ouest. Un quartier animé, commercial, intellectuel et culturel avec ses tavernes et ses maisons de fado (Vous connaissez Amália Rodrigues? Demandez à n’importe quel portugais et il vous racontera ...)
Vous aimez marcher sans but et vous n’avez pas peur de vous perdre?
C’est l’Alfama qu’il vous faut avec son labyrinthe de ruelles étroites à égarer Dédale lui-même! N’oubliez pas de passer par le château Saint Georges (une forteresse des Romains et des Musulmans) qui ne sert plus à protéger la population, mais qui possède une fantastique salle d’information sur la ville et ...une grande collection de cygnes, de canards et de paons ... La vue est superbe!
Vous êtes un fanatique de photos?
Alors, n’oubliez pas votre appareil et regardez où vous mettez les pieds! Non pas que les trottoirs ne soient pas propres, mais trop de Portugais oublient d’admirer les magnifiques dessins réalisés avec des pavés blancs et noirs: des formes géométriques, des fleurs, des mosaïques...
Maintenant, relevez la tête et regardez les façades des bâtiments et vous découvrirez les azulejos, ces carreaux de faïences apparus aux Moyen-Âge. On en découvre partout, principalement en bleu, mais aussi avec des fleurs roses, jaunes vertes ... Un véritable musée en plein air! Vous n’avez que l’embarras du choix ...
Vous aimez l’histoire et vous associez le Portugal aux grandes découvertes maritimes?
Ce qu’il vous faut c’est la zone de Belém, au bord du fleuve, avec la caravelle du monument des Découvertes devant le pavage qui compose une immense rose des vents où vous pourrez lire la carte du monument, après quoi vous pourrez visiter le Planétarium Gulbenkian, le Monastère des Jerónimos, le musée national des Carrosses et pourquoi pas le Palais Présidentiel (le troisième dimanche de chaque mois). Finissez la journée par la dégustation de la spécialité locale: les pastéis de Belém (de délicieuses petites tartes à la crème). Un conseil: n’essayez pas d’obtenir le recette ... c’est un secret conservé depuis plus d’un siècle!
Nous vous attendons car il y a encore beaucoup à découvrir...
แหล่งที่มา:http://www.bonjourdefrance.com/n9/lisbonne.htm
วันอาทิตย์ที่ 11 พฤศจิกายน พ.ศ. 2550
Bastille
La Bastille, ou plus exactement la Bastille Saint-Antoine (48°51′12″N 2°22′9″E / 48.85333, 2.36917), était une forteresse élevée sur l’actuelle place de la Bastille à Paris.
___
Forteresse
Destinée à défendre la porte Saint-Antoine et les remparts de l'est de Paris devenus plus vulnérables, la Bastille ou Bastide Saint-Antoine était initialement un véritable château-fort et un arsenal. Elle fut bâtie sous le règne de Charles V, de 1370 à 1383, par Hugues Aubriot, sur le modèle à quatre tours courant à l’époque. Les autres tours lui furent ajoutées ultérieurement. Elle faisait 66 mètres de long pour 34 mètres de large et 24 mètres de hauteur au niveau des tours, et était entourée d'un fossé de 25 mètres de largeur par 8 de profondeur alimenté par les eaux de la Seine. Les huit tours se nommaient tours du Coin, de la Chapelle, du Trésor, de la Comté, de la Bertaudière, de la Basinière, du Puits et de la Liberté. L'entrée se faisait par la rue Saint-Antoine et donnait sur la Cour de l'Avancée qui abritait des boutiques et une caserne. À la même époque est édifié le donjon de Vincennes.
Très vite, son utilité militaire s’avérant médiocre – « assiégée, elle s'est toujours rendue[1] » – une nouvelle enceinte fut construite. La forteresse fut alors utilisée comme coffre-fort et lieu de réception par François Ier.
Durant la Journée des Barricades (huitième guerre de religion), la Bastille se rendit le 13 mai 1588[2].
Sully, nommé gouverneur en 1602, y abrita le trésor royal dans la tour du même nom, qu'on désigna alors sous le terme de « buffet du roi[3] ».
La Bastille est à nouveau prise durant la Fronde en 1649, et un Frondeur en est nommé gouverneur : Pierre Broussel.
Prison [modifier]
La Bastille fut utilisée occasionnellement comme cachot dès le règne de Louis XI, mais c'est le cardinal de Richelieu qui la transforma en prison d’État à laquelle restent attachées les lettres de cachet, lettres signées du roi (ou le plus souvent de ses ministres) ordonnant un emprisonnement sans jugement. C’était une prison plutôt confortable pour les personnes de qualité (nobles, grands bourgeois) qui disposaient de grandes pièces avec repas fins et d'un domestique. Le nombre de ses prisonniers n'a d'ailleurs jamais dépassé 45. La Bastille comportait également un quartier beaucoup moins agréable pour les prisonniers communs, ainsi que des cachots (et non des oubliettes), situés à six mètres de profondeur et qui servaient de punition aux prisonniers insubordonnés comme, par exemple, le fameux Latude.
Un historien qualifie même la Bastille de rendez-vous des intellectuels [4] puisque s'y retrouvaient aussi bien Voltaire que des pamphlétaires comme Linguet ou Brissot, victimes de la censure.
C’était aussi un gouffre financier pour Louis XVI, en raison à la fois du traitement du gouverneur d'environ 60 000 livres mais aussi de l'entretien du personnel, nombreux, ou de la nourriture. Necker, qui avait déjà fermé le donjon de Vincennes, souhaitait la faire abattre dès 1784. Le peuple ne semble pas avoir réellement craint ce bâtiment, mais les cahiers de doléances de la ville demandaient sa destruction. Comme toute forteresse imposante, elle marquait le paysage et rappelait la puissance du roi (comme la tour du Temple).
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Forteresse
Destinée à défendre la porte Saint-Antoine et les remparts de l'est de Paris devenus plus vulnérables, la Bastille ou Bastide Saint-Antoine était initialement un véritable château-fort et un arsenal. Elle fut bâtie sous le règne de Charles V, de 1370 à 1383, par Hugues Aubriot, sur le modèle à quatre tours courant à l’époque. Les autres tours lui furent ajoutées ultérieurement. Elle faisait 66 mètres de long pour 34 mètres de large et 24 mètres de hauteur au niveau des tours, et était entourée d'un fossé de 25 mètres de largeur par 8 de profondeur alimenté par les eaux de la Seine. Les huit tours se nommaient tours du Coin, de la Chapelle, du Trésor, de la Comté, de la Bertaudière, de la Basinière, du Puits et de la Liberté. L'entrée se faisait par la rue Saint-Antoine et donnait sur la Cour de l'Avancée qui abritait des boutiques et une caserne. À la même époque est édifié le donjon de Vincennes.
Très vite, son utilité militaire s’avérant médiocre – « assiégée, elle s'est toujours rendue[1] » – une nouvelle enceinte fut construite. La forteresse fut alors utilisée comme coffre-fort et lieu de réception par François Ier.
Durant la Journée des Barricades (huitième guerre de religion), la Bastille se rendit le 13 mai 1588[2].
Sully, nommé gouverneur en 1602, y abrita le trésor royal dans la tour du même nom, qu'on désigna alors sous le terme de « buffet du roi[3] ».
La Bastille est à nouveau prise durant la Fronde en 1649, et un Frondeur en est nommé gouverneur : Pierre Broussel.
Prison [modifier]
La Bastille fut utilisée occasionnellement comme cachot dès le règne de Louis XI, mais c'est le cardinal de Richelieu qui la transforma en prison d’État à laquelle restent attachées les lettres de cachet, lettres signées du roi (ou le plus souvent de ses ministres) ordonnant un emprisonnement sans jugement. C’était une prison plutôt confortable pour les personnes de qualité (nobles, grands bourgeois) qui disposaient de grandes pièces avec repas fins et d'un domestique. Le nombre de ses prisonniers n'a d'ailleurs jamais dépassé 45. La Bastille comportait également un quartier beaucoup moins agréable pour les prisonniers communs, ainsi que des cachots (et non des oubliettes), situés à six mètres de profondeur et qui servaient de punition aux prisonniers insubordonnés comme, par exemple, le fameux Latude.
Un historien qualifie même la Bastille de rendez-vous des intellectuels [4] puisque s'y retrouvaient aussi bien Voltaire que des pamphlétaires comme Linguet ou Brissot, victimes de la censure.
C’était aussi un gouffre financier pour Louis XVI, en raison à la fois du traitement du gouverneur d'environ 60 000 livres mais aussi de l'entretien du personnel, nombreux, ou de la nourriture. Necker, qui avait déjà fermé le donjon de Vincennes, souhaitait la faire abattre dès 1784. Le peuple ne semble pas avoir réellement craint ce bâtiment, mais les cahiers de doléances de la ville demandaient sa destruction. Comme toute forteresse imposante, elle marquait le paysage et rappelait la puissance du roi (comme la tour du Temple).
วันอังคารที่ 6 พฤศจิกายน พ.ศ. 2550
baleine à bosse
La baleine à bosse (Megaptera novaeangliae) ou jubarte fait partie des baleines à fanons (ou Mysticètes). C’est un mammifère cétacé de grande taille : les adultes atteignent habituellement 12 à 16 mètres de long et pèsent en moyenne 36 tonnes. Cette espèce, qui effectue parfois de spectaculaires sauts hors de l’eau, possède de longues nageoires pectorales et son chant est extrêmement complexe. Elle vit dans les océans et les mers de l'ensemble du globe et devient, de façon croissante, l'objet d'un tourisme d’observation des baleines (whale-watching) de plus en plus intensif...
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